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Please use this identifier to cite or link to this item: http://hdl.handle.net/1635/15489

Titre: Profil étiologique des anomalies congénitales Du rein et du tractus urinaire (Congenital Anomalies of the Kidney and Urinary Tract) (CAKUT)Chezles enfants de 0-4 ans
Auteur(s): GUERD, baya
Daouya, Iftene
Mots-clés: Infection urinaire
CAKUT
aignostic anténata
Issue Date: 8-Nov-2021
Description: Introduction: les Anomalies congenitales du rein etdes voies urinaires «Congenital Anomalies of the Kidney and Urinary Tract (CAKUT) »reste la premeière étiologie des insuffisances rénales chroniques survenant chez l’enfant et de mise en route d’un traitement de supléanace (Dialyse et transplantation) surtout dans lapetite enfance, malheureusement ne nous disposons pas de chiffres nationnaux et aucune étude n’a été faite dans ce sens.Objectifs:Déterminer le profil étiolgique des CAKUT et apprécier leurs férquences, leurs carctéristiques épidémiologiques, relever l’interet du diagnostic anténatal, leurs modalités de prises en charge, ainsi que le cout économiquede cette dernière.Matériels et méthodes:On a réalisé une étude prospective, et descriptiveallant du mois de Juillet 2017 au mois de Juillet 2019 soit une période de deux ans, incluant 215 enfants agés entre 0 et 4ans chez qui on a diagnostiqué une CAKUT à l’exclusion dessyndromesmalforamtifs.Résultats: Nos résultats sont en faveur d’un profil étiologique plus au moins comparable aux études internationales qu’elles soient maghrébines, ou autres.Hdronéphrose idiopathique comme anomaliela plus retrouvéedans40.9 % des cas, suivie par les néphropathies réputées refluantes posant l’énorme problème de prise en chargevu la fréquence élevée de survenue des infections urinaires avec le refluxvésico-urétéraldans 37.7% et le Méga-uretèredans 11.2% des cas. Une antibiothérapie a été adopté chez 48.8% des enfantspour une duréede 25.31mois en moyenneafin de diminuer la survenue des infections urinaires et retarder ainsi l’apparition d’une insuffisance rénale sur le long termece qui est le plus redoutable chez cette catégorie d’enfants. On a relevé également quemalgré la performance des nouveaux appareils échographiquesle diagnostic anténatal d’une CAKUT n’a été posé que dans 40% des cas et malheureusement 12.8 % seulement des DAN positifs ont été faits précocement c’est-à-dire à la fin du premier et au deuxième trimestre. Une chirurgie réparatrice est réalisée dans 67% des cas, en notant des complications dans8.4% des cas et une létalité dans0.9%.Un cout économique relativement élevé comparé au revenu menseuel minimal à savoir que les tarifs n’ont pas été revus depuis la convention CNAS de 2010. Conclusion: la prise en charge des enfants présentant une CAKUT peut etre nettement amélioré si meilleure sensibilisation des obstétriciens quant au diagnostic anténatal et surtout sa précocité,et une orientation précoce, de ce fait créer un circuit permetterait une amélioration globale des CAKUT en Algérie
URI: http://hdl.handle.net/1635/15489
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